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Hôtel Castellana
« C’est vrai, la vie est une lutte. Mais il va essayer de s’y lancer à corps perdu, d’y trouver un sens, au lieu de tenter de la bâillonner. La peur est un esprit malfaisant, pourtant il y a une chose que Franco et les Corbeaux ne pourront jamais lui ôter : la liberté de la combattre. »
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Les chroniques de Télès #1
«— Parce que tu crois qu’une femme uniquement vêtue d’une robe blanche, dans ce froid magistral, debout sur une falaise et en plein milieu de la nuit, ne risque pas d’effrayer des mortels ? »
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With you, never
« – Il me faut ton nom et prénom. Je réponds du tac au tac, sur les nerfs : – Et puis quoi encore, tu veux ma mutuelle et mon compte en banque aussi ? Il me regarde sérieusement. – Ton identité suffira. Il faut que je sache qui tu es au cas où on devrait signaler ta mort. »
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Devant nos yeux
Et que diront vos petits-enfants ? Que vous les avez condamnés ? Vous saviez...et pourtant, vous n’avez rien fait.
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Je commence de nouveaux romans !
Un article un peu différent sur mon mood de lecture du moment ! "Là où tu iras, j'irai. Là où tu seras, je serai."
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Le soleil de minuit, partie 1
« Je me retiens de lui promettre le monde. Je me retiens de lui demander de trouver une solution. Je me retiens de lui demander de m’attendre. »
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Comme nul autre avant toi
« Ma puce, ta réponse n’est pas la bonne. Il a beau être ton mari, l’amour n’a rien à voir là-dedans. Est-ce que ton coeur palpite lorsque tu le vois ? Est-ce que tu as envie de l’appeler toutes les heures ? Est-ce que tu peux t’empêcher de le toucher lorsqu’il est prêt de toi ? C’est ça, l’amour. Pas le fait d’être marié à quelqu’un. »
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Des paillettes dans le sable
« Laissez-vous porter par vos rêves, ils ne vous mèneront pas toujours où vous voulez aller, mais où vous devez être. Ils m’ont menée à vous et vous avez rempli ma vie de paillettes. »
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Bande annonce livresque #8
« C’est en sonnant la retraite d’une bataille perdue d’avance que l’on gagne la guerre »
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Bande annonce livresque #6
« — Tu te fous de ma gueule, Mathias ? — Enfin, tu réagis ! me jette-t-il, un rictus au coin des lèvres. — Dehors, tout de suite ! Sauf Mathias ! Je montre la porte à mes employés. — Partez tous, je ne veux plus vous voir à l’agence ! — Mais j’ai encore des mails à envoyer…, bredouille Sonia. — Prenez votre après-midi et votre ordinateur, je m’en fiche, mais dehors ! »