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Et l’étincelle se mit à danser

Coucou, vous, petites chouettes enchantées ! J’ai l’impression que ça fait une éternité !

Peut-être pas pour vous parce que le dernier article a été publié il y a…quelques minutes à peine. Et pourtant, j’étais persuadée d’avoir appuyé sur le petit bouton bleu « publier » mais non… bref.

Aujourd’hui, nous allons danser avec ce début de feu de joie ! Je vous parle de Et l’étincelle se mit à danser signé Marine Dragon !

Mon avis

Dès les premières pages, je me suis sentie aspirée. Il y a directement quelque chose qui m’a plu. La dynamique du personnage principal, sûrement. À vrai dire je n’en suis pas si sûre. Sa manière de se plonger dans le sport, de se lever aussi tôt, sa rencontre avec Monsieur costume trois-pièces, peut-être. À moins que ce soit la plume, tantôt poétique, tantôt dure.

Bien que j’avais lu la quatrième de couverture en choisissant ce roman en service presse (toujours un immense merci aux éditions Caméléon ainsi qu’à leurs auteures), je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Et c’était bien. C’est le charme des romans Caméléon, ne pas savoir à 100% ce qui se cache entre les pages et découvrir une histoire qui va vous retourner (mais quel est l’intérêt sinon ?).

J’en ai lu des romans, vécu des histoires (je dis ça comme si j’en avais lu autant que mon Oma, lol), mais je crois que celui-ci m’a vraiment affectée, physiquement parlant aussi. 

Je me suis même posé la question si j’avais envie de continuer ma lecture, tant certains éléments me tordaient (littéralement) les boyaux. Malgré cette pression dans la poitrine, j’ai continué à avancer. Je crois qu’inconsciemment, je ne voulais pas lâcher Lili. Je ne voulais pas la laisser seule en proie à ses démons. Alors j’ai continué, je me suis accrochée. 

Dit comme ça, peut-être que vous allez vous interroger, et vous demander qu’est-ce qui a été dure pour moi. Je ne vous le dévoilerai pas. Cela gâcherait l’effet de surprise sur les thématiques abordées. Je vous laisserai plonger dans cette splendide réécriture de conte, poétique et si réelle. 

Je ne m’attendais pas à ça. Oh non. Même moi, je ne suis pas sûre de savoir réellement pourquoi le deuxième sujet principal, après la résilience, m’a autant affectée. Peut-être parce que c’est un sujet que je ne comprends pas. C’est drôle, parce que j’en ai lu, aussi, des dark romance (ceci n’en est pas une), sans que cela ne me fasse rien mais là, cette histoire m’a retournée. Et dans le bon sens du terme. J’ai l’impression que j’en suis sortie aguerrie. 

C’est là la beauté de la lecture et de la vie : tout ne nous émeut pas de la même manière. 

Tellement de fois j’avais envie de secouer Lili, de lui dire qu’elle était plus forte que ce qu’elle croyait, qu’elle arriverait à s’en sortir, qu’il fallait qu’elle trouve cette étincelle au fond d’elle.

Les étincelles, parlons-en. 

J’ai beaucoup aimé cette métaphore de feu, de l’allumette qui traverse toute l’histoire. Symbole du conte, de la résilience aussi, intimement lié au métier de Lili.

J’ai été amadouée, choquée aussi par la froideur de l’homme en costume-trois-pièce. J’ai aimé le mystère autour de lui. Son appellation tout au long du roman.

Avec « Et l’étincelle se mit à danser », Marine  Dragon a fait de moi ce qu’elle voulait. Si au début j’étais persuadée que l’histoire irait dans une certaine direction, elle a pris un revirement inattendu. Moi qui pensais me plonger dans une douce romance, j’ai bien été trompée et le pire dans tout ça, c’est que ça m’a plu ! J’ai aimé cette plume fluide à la fois belle et rude. J’ai aimé les citations sur les paquets d’allumettes, la bienveillance de Ghali, son amitié avec Lili. 

Je me demandais comment Marine terminerait son roman, je ne voyais qu’une option : la fin de l’allumette, une fois qu’elle s’est entièrement consumée…elle s’éteint.

Ce que Marine Dragon a écrit est mieux ! Elle a trouvé une juste fin, une fin qui m’a éberluée. Même maintenant, j’avoue, je ne suis pas sûre que mes yeux aient lu correctement ce que j’ai lu.

Merci pour cette histoire, Marine. Merci pour les roses, merci pour les épines (Jean d’Ormesson).

Plein de bisous et d’étincelles 💖

✨ Clarisse ✨🌻🤍

Vous n’avez tout de même pas cru que je vous laisserais sans un petit bonus !?

Merci de m’avoir lue ♥️

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